Invitée : Dr. Jessica Rose is a Canadian researcher with PhD in Computational Biology and 2 post docs in molecular biology and biochemistry (intervention traduite simultanément en français)

Discutante : Emmanuelle Darles

Animateur : Vincent Pavan

Topo CSI-VF – actif
Le pdf à télécharger ici

Invité : Dr Philippe De Chazournes, médecin généraliste omnipraticien

Discutant : Dr Eric Ménat

Animatrice : Emmanuelle Darles

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Invité : Louis Fouché

Intervenants : Carole Fouché, Hélène Banoun, Emmanuelle Darles, et les autres

Animateur : Vincent Pavan

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Sujets : Aspects de droit privé de la gouvernance mondiale de la santé

Invité : Pr Guenter Reiner – Pr de Droit Privé à l’université de Hambourg

Intervenants : Maître Nathalie Lecreux (barreau de
Versailles) et Maître David Guyon (Droit Public)

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Sujets : Vaccination HPV et adjuvant aluminium

Intervenant : Didier Lambert

Animateur : Philippe De Chazournes

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Sujets : Sécurité des vaccins Covid chez les malades chroniques et les bien-portants.

Intervenants : Dr Loredana Frasca et Roberto Lande

Animateur : Eric Ménat

Discutante : Hélène Banoun

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Sujets : Placebo, nocebo.

Intervenante : Alice Guyon, Directrice dir de recherches CNRS, Sciences Cognitives, effets en clinique de plusieurs approches non conventionnelles et complémentaires

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Discutante : Carole Fouché

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Points à retenir

    • Les analyses de la HAS sont indispensables au positionnement des praticiens.
    • Chaque nouveau vaccin COVID fait l’objet d’une analyse par la HAS.
    • Pourtant, au 25 octobre 2023, toujours rien pour le vaccin XBB.1.5.

 

 

 

La HAS est une entité à caractère scientifique créée par la loi du 13 août 2004.

La HAS exerce son activité dans le respect de trois valeurs :

  • la rigueur scientifique
  • l’indépendance
  • la transparence.

 

 

La HAS a ainsi pour mission, entre autres mais essentielle, d’aider les professionnels de santé à optimiser leurs pratiques professionnelles. [1]

 

Ce rôle est essentiel car les médecins, par manque de temps, ne peuvent pas matériellement avoir une connaissance exhaustive de la littérature scientifique. Sur certains sujets, comme celui des vaccins contre le COVID, il peut y avoir plusieurs dizaines de publications par jour. [2]

 

Pourtant le code de santé publique, notamment par l’article R4127-11, oblige les médecins à entretenir leurs connaissances et à ne pas recommander un traitement insuffisamment éprouvé, comme l’oblige notamment l’article R4127-39.

 

Les médecins comptent alors, et toujours, sur les travaux de la HAS pour se forger un jugement et adapter leur positionnement professionnel pour soigner au mieux leurs patients. Les informations de la HAS permettent aussi aux médecins de ne pas enfreindre le code de santé publique, ce qui pourrait leur valoir des sanctions de l’Ordre des Médecins.

 

 

 

Fin 2020, début 2021

 

La HAS, le 23 décembre 2020 mis à jour le 18 février, a produit un rapport concernant le premier vaccin ARNm mis sur le marché : Comirnaty de Pfizer, qui deviendra vite le vaccin très majoritairement utilisé en France. [3]

 

Grace à ce rapport et aux informations scientifiques et médicales qu’il contient, les médecins ont pu acquérir des informations essentielles avant la mise à disposition du nouveau vaccin.

Ainsi, les médecins ont pu apprendre que ce premier vaccin ARNm contre le COVID de la marque Pfizer n’avait pas prouvé

  • son efficacité sur les décès
  • son efficacité sur les formes graves
  • son efficacité sur les personnes de 75 ans et plus
  • son efficacité sur les patients atteints de comorbidités
  • son efficacité à plus long terme (supérieure à 2 mois)
  • son efficacité sur la transmission du virus
  • son efficacité chez les femmes enceintes
  • sa tolérance (effets indésirables) à plus long terme (supérieure à 2 mois)

 

Ainsi, grâce à ces informations essentielles, ces informations données par la HAS, les médecins consciencieux ont pu respecter le code de santé publique, et notamment l’article R4127-39, et ne pas recommander indument ce vaccin à la partie de leur patientèle pour laquelle les informations étaient insuffisantes.

 

Ces médecins consciencieux, toujours grâce à la HAS, ont aussi pu communiquer une information complète concernant notamment l’absence d’évaluation de l’efficacité sur les formes graves ou les décès en particulier chez les plus âgés. Les médecins ont ainsi pu respecter, par exemple, l’article R 4127-35 du code de santé publique qui impose aux médecins de communiquer une information claire et loyale.

 

 

 

En septembre 2022

 

La HAS, le 19 septembre 2022, a produit un rapport concernant le premier vaccin ARNm mis à jour à partir Comirnaty de Pfizer : le vaccin « Omicron bivalent », qui sera le booster de rappel très majoritairement utilisé en France. [4]

 

Grâce à ce rapport et aux informations scientifiques et médicales qu’il contient, les médecins ont pu acquérir des informations essentielles avant la mise à disposition du nouveau vaccin.

 

Les médecins ont pu, grâce à la HAS, savoir que le vaccin Bivalent contre le COVID de la marque Pfizer n’avait subi que des tests d’immunogénicité. C’est-à-dire que le fabricant s’était contenté de mesurer l’impact du vaccin sur le taux d’anticorps neutralisants. Aucun autre critère n’était mesuré.

 

Mais la HAS, en toute transparence et conformément à ses statuts, expliquait aussi que ce test ne reposait que sur des données pré-cliniques chez des souris. Aucun essai chez l’homme.

La HAS précisait en plus que la technique utilisée pour ces tests n’était même pas validée.

 

La HAS poursuivait en avouant qu’il n’y avait donc eu aucune étude pour montrer l’efficacité sur une infection par le COVID. Ni sur la souris, et encore moins chez l’homme.

 

Ainsi, les médecins consciencieux ont pu prendre conscience, grâce au rapport de la HAS, que l’efficacité sur la souche ciblée (Omicron) était inconnue et plus particulièrement sur

  • Les personnes âgées
  • Les personnes moins âgées
  • Les femmes enceintes
  • Les patients atteints de comorbidités
  • Les enfants

En fait il n’y avait aucune mesure d’efficacité disponible.

 

Mais les médecins ont aussi pu savoir que les effets indésirables de ce vaccin « Omicron bivalent » n’avaient pas été évalués du tout.

 

Ainsi, grâce aux informations données par la HAS, les médecins consciencieux ont pu respecter le code de santé publique, et notamment l’article R4127-39 et ne pas recommander ce vaccin à leurs patients puisque les informations étaient très insuffisantes. En fait, elles étaient totalement inexistantes et dans ces conditions, la balance bénéfice/risque était impossible à déterminer.

 

Ces médecins consciencieux, toujours grâce à la HAS, ont aussi pu communiquer une information complète concernant particulièrement l’absence d’évaluation de l’efficacité sur l’ensemble des critères (les formes graves, les décès, les plus âgés, les femmes enceintes, etc…) et ainsi respecter, par exemple, l’article R 4127-35 du code de santé publique.

 

 

 

En octobre 2023

 

La campagne de vaccination contre le COVID avec les nouveaux vaccins adaptés dits XBB.1.5 a commencé début octobre. Elle a même été avancée de 2 semaines car la situation sanitaire française était jugée préoccupante. Il est pourtant difficile de comprendre la nature de cette préoccupation lorsqu’on analyse le nombre de cas recensés en France à ce moment. En effet, il n’y a quasiment plus de cas depuis janvier. Il y en avait tellement peu que Santé Publique France a interrompu le suivi de ce paramètre en juillet 2023.

Il est de notoriété publique que le ministre recommande de subir cette vaccination en précisant que le vaccin est le plus efficace jamais mis sur le marché et qu’il n’a aucun effet indésirable. [5]

 

La question que se pose l’ensemble du monde médical mais aussi l’ensemble des patients est de connaitre la source des informations dont dispose le ministre pour faire ses recommandations.

 

En effet, sauf erreur, la HAS n’a toujours pas rendu d’avis sur les vaccins XBB.1.5 utilisés depuis début octobre 2023.

 

Pourtant, pour les raisons expliquées au début de ce texte, les médecins ont un besoin impérieux des informations habituellement fournies par la HAS.

 

 

 

En conclusion

 

  1. Il y a une grande inquiétude que la HAS abandonne ainsi les médecins au sujet d’un médicament que le ministre de la Santé, qui n’est pas médecin, recommande avec force et insistance à la population française, alors que la responsabilité de son administration repose sur les médecins…

 

  1. Il est difficile de comprendre pourquoi la HAS n’a pas été en mesure de fournir un rapport complet sur ce nouveau vaccin avant son déploiement dans les cabinets alors que la HAS avait pourtant toujours fourni un avis sur les vaccins contre le COVID.

 

  1. Cette interrogation est d’autant plus importante que les informations fournies par les fabricants sont encore plus succinctes que les précédentes et donc que leur analyse s’en trouve plus rapide.

 

En réalité, certains (ceux qui ont lu les informations proposées par les fabricants [5]) soupçonnent la HAS de ne pas rendre son avis car il irait à l’encontre des propos très favorables du ministre de la Santé sur l’utilisation de ce médicament.

 

Il est donc indispensable que la HAS fournisse enfin son analyse.

 

Et dans les plus brefs délais car sans ces informations, les médecins ne peuvent raisonnablement pas, en respect du code de santé publique et de leur éthique professionnelle, recommander cette vaccination à leur patientèle.

 

 

 

[1] https://www.has-sante.fr/jcms/c_452559/fr/la-has-en-bref

[2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=COVID+vaccine&filter=years.2021-2024&sort=date

[3] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020-12/strategie_vaccination_covid_19_place_vaccin_a_arnm_comirnaty_bnt162b2.pdf

[4] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-09/rapport_evaluation_place_des_vaccins_cominarty_bivalents_original.omicron_ba.1_et_origninal._omicron_ba.4-5.pdf

[5] https://www.conseil-scientifique-independant.org/le-nouveau-vaccin-xbb15-est-il-efficace/

 

 

À Retenir

  • Le ministre recommande les vaccins XBB.1.5.
  • Les fabricants indiquent que leur efficacité est inconnue à ce jour.
  • Les fabricants indiquent ne pas avoir suivi les effets indésirables plus de 28 jours sur 50 patients seulement.

 

La course au nouveau vaccin contre le COVID n’est pas finie.

La création de vaccins contre les nouveaux variants n’est pas finie.

Les fabricants y voient toujours une source importante de revenus, surtout que les variants se succèdent. Et qu’ils continueront à se succéder.

 

Le ministre de la Santé affirme sur France Inter le 3 octobre 2023 au sujet du dernier vaccin mis à disposition pour l’ouverture de la campagne vaccinale d’automne :

« On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires ».

 

Pourtant, la lecture des premiers résultats fournis par MODERNA pose beaucoup de questions mais nous montre surtout que les propos du ministre sont, au moins à cette date (3 octobre 2023) mensongers. [1]

 

Dangerosité des variants

 

On ne discutera pas en détail de la dangerosité des variants du SARS-CoV2 et donc de l’intérêt des autorités sanitaires de recommander l’utilisation massive des vaccins.

Cependant, il est important de rappeler l’évolution de la mortalité attribuée au COVID depuis le début montre la disparition quasi-totale de décès.

Le nombre de malades hospitalisés avec un test positif au COVID, et pas nécessairement à cause du COVID, est tellement faible que Santé Publique France a arrêté d’en faire le suivi depuis juin 2023.

 

En réalité, dès 2020, le CDC montrait que la létalité (IFR) était du même niveau que celle de la grippe. [2]

Et depuis 2022 et les variants Omicron, Santé publique France indique que c’est largement moins. [3]

La campagne massive de publicité pour la vaccination COVID semble ainsi peu cohérente au regard de la dangerosité mesurée du COVID depuis des mois et en particulier en 2023.

 

Succession des variants

 

On ne discutera pas ici, non plus, de l’intérêt de ces vaccins compte tenu de la dynamique très rapide des mutations.

Mais le suivi des variants par séquençage montre que les variants se succèdent tous les 4 mois environ et que la tendance montre même une accélération.

Ainsi, le vaccin dirigé contre OMICRON BA.1 et BA.5 a été disponible en octobre 2022 et selon les données disponibles sur le portail Géodes-Santé Publique France, la très grande majorité des vaccinations contre ces variant Omicron a été faite en novembre et décembre 2022.

Mais à cette date, le variant BA.1 avait totalement disparu (depuis quasiment 6 mois) et le variant BA.5 était déjà minoritaire dans la population. En effet à cette date, c’est déjà le variant BQ.1 qui domine parmi les variants circulants.

Le vaccin proposé avait donc 6 mois de retard. Et les deux variants ciblés avaient disparu sans l’intervention du vaccin spécifique.

 

Le dernier « cru » de 2023 est dirigé contre le variant XBB.1.5 qui est apparu en janvier 2023.

Selon l’OMS et les médias, c’était le variant le plus contagieux jamais observé. [4]

En fait chaque nouveau variant est toujours considéré comme le plus contagieux !

De fait, il a été choisi par les industriels, sous le contrôle des autorités sanitaires, pour produire le vaccin de « l’automne ». or, le plus souvent « contagieux » rime avec inoffensif… ce que l’on observe aussi avec le Sars-CoV-2

Mais comme les autres, la durée de présence du variant XBB.1.5 est courte.

Le suivi des variants présenté dans le graphique suivant montre que dès mai 2023, il n’était plus le variant dominant.

 

Alors que la campagne de vaccination démarre à peine, il ne représente déjà plus que 10% des variants circulants.

Il faut donc comprendre que les variants disparaissent plus vite que les industriels produisent leurs vaccins. Il faudrait donc se poser la question de l’utilité de vacciner contre une souche, une fois encore, qui a disparu.

Il faut donc comprendre que les variants disparaissent plus vite que les industriels ne produisent leurs vaccins.

Il faudrait donc se poser la question de l’utilité de vacciner contre une souche, une fois encore, qui a disparu.

Et encore plus d’en faire la publicité !

 

Mais regardons en détail la nouvelle publication de MODERNA au sujet de leur vaccin automne 2023 contre le variant XBB.1.5.

 

 

Efficacité du vaccin XBB.1.5 selon les essais de MODERNA

 

MODERNA ne ment à personne.

« Cette étude n’était pas conçue pour … mesurer… l’efficacité du vaccin. »

 

Voilà !

Tout est dit !

Que dire de plus ?

 

Comme toutes les études de ce type depuis 2021, les vaccins ne sont testés que sur leur capacité à induire l’apparition d’anticorps contre l’antigène cible : la protéine SPIKE du variant choisi.

 

L’efficacité sur les paramètres importants :

  • Maladie grave
  • Hospitalisation
  • Mortalité
  • Contamination

n’est pas testée.

 

MODERNA se contente donc de mesurer le titre (la concentration) d’anticorps avant et après injection de leur vaccin. Le coût de l’étude est donc très réduit pour le fabricant…

 

Les résultats montrent évidemment que le taux d’anticorps, mesuré 15 jours après l’injection, est augmenté de façon significative. [1]

 

Il faut aussi noter que MODERNA ne fait pas de suivi de ces taux sur une période plus longue. Pourtant, il est connu que les anticorps disparaissent au bout de quelques semaines. Pfizer le savait déjà grâce à ses essais sur le vaccin initial de 2020 mais ne l’avait pas dit.

 

Mais cela n’a finalement aucune importance car, en aucun cas, le taux d’anticorps n’est pas corrélé à la protection contre le virus et la maladie qu’il provoque. C’est-à-dire qu’un taux élévé d’anticorps n’implique pas une protection contre une forme grave du COVID, ou le décès.

La HAS le confirme : [5]

 

De plus, MODERNA utilise encore la même méthode de dosage : « test de neutralisation de pseudovirus » qui selon la Haute autorité de Santé, n’a jamais été validée. [5]

Mais visiblement, la satisfaction de MODERNA, et des autorités de santé, ici la FDA, semble suffire.

« La conception de l’étude a permis une évaluation rapide des réponses anticorps et les résultats soutiennent la stratégie de mise à jour des vaccins Covid-19 pour correspondre plus étroitement aux variantes en circulation. »

 

Voilà !

Tout est dit !

Que dire de plus ?

 

 

 

La sécurité du vaccin XBB.1.5

 

MODERNA consacre évidemment une partie de sa publication aux effets indésirables de leur nouveau vaccin.

MODERNA a choisi de ne suivre les effets indésirables des 50 patients que sur 28 jours.

Seulement 50.

Et seulement 28 jours.

 

Cette période est évidemment trop courte pour détecter autre chose que les effets immédiats mais le principal problème repose sur la taille de l’échantillon.

Les tests ont été faits sur 50 personnes seulement.

Pourtant, la fréquence des effets indésirables est définie comme suit :

  • Peu fréquent : peut survenir chez 1 à 10 personnes sur 1 000.
  • Rare : peut survenir chez 1 à 10 personnes sur 10 000.
  • Très rare : peut survenir chez moins de 1 personne sur 10 000.

 

Autrement dit, en testant seulement 50 personnes, la probabilité de trouver un effet indésirable est nulle (quasi nulle pour les puristes des probabilités). Mais surtout, elle ne sera jamais significative. L’échantillon est trop faible.

Donc l’étude ne permet pas de détecter des effets indésirables. Elle n’est pas faite pour.

 

Mais MODERNA prend beaucoup de précautions oratoires concernant les effets indésirables de son nouveau vaccin. En effet, MODERNA n’affirme pas que son vaccin est sûr, contrairement au ministre de la Santé.

Le document ne dit rien de plus que :

« les vaccins XBB.1.5 avaient une tolérabilité similaire aux vaccinations antérieures ».

 

Cela indique simplement qu’il ne fait pas pire que les autres vaccins ARNm.

 

MODERNA ne semble pas avoir conscience du nombre et de la gravité des effets indésirables. D’ailleurs, en mars 2023, le CEO de MODERNA, M BANCEL, était en grande difficulté pour ne pas mentir face aux questions des sénateurs américains.

 

En résumé, il y a de quoi se poser des questions.

  • 28 jours de suivi.
  • 50 patients seulement.

Et cela est pourtant suffisant pour obtenir une AMM et une recommandation du ministre de la santé…

 

Conflit d’intérêts

 

Il n’est pas utile de les discuter ici puisqu’il s’agit d’une étude initiée et payée par MODERNA pour un candidat vaccin.

Effectivement, et comme attendu, les auteurs sont en grande majorité des employés de MODERNA.

 

Mais pour ce type d’étude, il n’y a rien d’inhabituel.

 

Conclusion

 

Il y a de quoi se poser des questions.

  • 50 patients seulement.
  • Uniquement dosage d’anticorps sans corrélation établie avec un efficacité protectrice.
  • Aucune mesure d’efficacité sur les décès
  • Aucune mesure d’efficacité sur les hospitalisations.
  • Aucune mesure d’efficacité sur le passage en réanimation.
  • Aucune mesure d’efficacité sur les infections.
  • Suivi de 28 jours pour les effets indésirables.

 

 

Le bilan est scientifiquement et médicalement très pauvre.

Mais il était malheureusement évident que cela suffirait pour obtenir une AMM !

 

La situation n’était pas nouvelle puisque cela s’était déjà produit avec le précédent vaccin dit OMICRON de septembre 2022 où il n’y avait déjà qu’une mesure du taux d’anticorps et que 160 patients dans l’essai. Visiblement c’était 3 fois trop puisque MODERNA a décidé, sûrement avec l’autorisation des autorités de santé, de se contenter de 50 !

 

Au moins, la HAS aura peu de travail à faire pour écrire son rapport concernant le vaccin XBB.1.5 car les remarques seront les mêmes que pour le vaccin OMICRON de 2022.

Mais à ce jour (3 octobre 2023), la HAS n’a toujours pas donné son avis.

Pourquoi un ministre de la Santé se permet de recommander l’utilisation d’un vaccin alors même que la HAS n’a pas donné son avis ?

 

 

[1] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2023.08.22.23293434v1.full-text

[2] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-ccenarios-2021-03-19.pdf

[3] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35611065

[4] https://www.cnbc.com/2023/01/04/xbbpoint1point5-omicron-subvariant-is-the-most-transmissible-version-of-covid-yet-who-says.html

[5] https://www.conseil-scientifique-independant.org/analyse-du-rapport-de-la-has-sur-les-vaccins-omicron-2/

Sujets : Les vaccins géniques.

Intervenant : Michel Cucchi
Animateur : Louis Fouché
Discutante : Hélène Banoun

Présentation seule:

Emission et Discussion

2023-09-141854 – Vaccins géniques (prononcé)
Texte intégral de l’émission:

Conseil scientifique indépendant n°115
Version provisoire du 14/09/2023 18:52
1
Les vaccins géniques
Michel Cucchi
Retranscription: Michel Cucchi
Résumé
Les « vaccins » géniques, qu’ils soient à ADN ou à ARN, ne sont pas des vaccins.
Ce sont des thérapies géniques visant la production maximale d’une protéine
par les cellules du corps humain à partir d’une construction génétique
manufacturée.
Conseil scientifique indépendant n°115
Version provisoire du 14/09/2023 18:52
2
Introduction (1)
Cela fait maintenant plus d’un an que l’état d’urgence sanitaire est levé. Des
enquêtes, des procès se déroulent en ce moment aux États-Unis, au RoyaumeUni, en Australie, en Allemagne. Rien de tout cela en France, où les institutions
protectrices des droits des citoyens demeurent silencieuses et les grands
médias étonnamment peu curieux sur des événements récents d’une
envergure pourtant exceptionnelle.
 Dans ce grand sommeil, le gouvernement français prévoit une nouvelle
campagne de « vaccination » génique en population générale dans un mois, à
partir du 17 octobre.
 Est-ce bien raisonnable ?
Introduction (2)
Dans cette présentation, nous nous limiterons au retour critique sur les
« vaccins » géniques, dans l’objectif de contribuer à l’instauration d’un débat
public de qualité avant le lancement de cette nouvelle campagne de
« vaccination ».
 Nous verrons que ces techniques ne sont pas conçues pour stimuler une
immunité, mais pour faire produire dans le corps de la personne inoculée une
néoprotéine qui nuit à sa santé.
 Nous verrons que les « vaccins » – entre guillemets – issus de ces techniques
NE SONT PAS des vaccins, mais une thérapie génique incontrôlée dont les
effets délétères sur la population apparaissent majeurs.
Conseil scientifique indépendant n°115
Version provisoire du 14/09/2023 18:52
3
 Que ces préparations délétères aient pu être administrées sous contrainte
ou sous quasi-contrainte en population générale constitue une défaillance du
système de santé, des agences sanitaires et plus généralement de la décision
publique. L’absence de transparence, la transgression des règles, l’appât du
gain, la pusillanimité des professionnels et des experts, l’inconstance morale
des décideurs et la censure active des dissidents ont empêché qu’une
information claire et loyale parvienne à la population. [Nous allons donc tenter
grâce au CSI une synthèse des connaissances sur ces pseudo-vaccins afin de
permettre à chacun de prendre les décisions qui s’imposent pour lui-même et
pour ses proches.]
Composition
Composants principaux déclarés
C’est en mai 2023, près de deux ans et demi après le début de l’inoculation de
la population générale et à la suite d’une requête judiciaire auprès de l’agence
britannique des médicaments et produits de santé, la MHRA, que BioNTech
finit par publier un tableau de composition non expurgé de son vaccin
BNT162b2. Parmi ses composants principaux se trouve l’ARN modifié,
improprement désigné comme principe actif.
 Au cours de la séance du CSI de la semaine dernière, le Dr Carole Cassagne a
présenté par le menu l’ingénierie susceptible d’avoir été mobilisée par les
industriels pour la fabrication d’un ARN traduisible par des cellules humaines.
Je rappelle ici les principales modifications du produit par rapport au code
sauvage porté par le SRAS-CoV-2.
Conseil scientifique indépendant n°115
Version provisoire du 14/09/2023 18:52
4
 L’ensemble des bases uridine ont été changées par des N1-méthylpseudouridine, ce qui entraîne une immunodépression nécessaire pour inhiber
l’activation immunitaire contre l’ARN étranger.
 Le code est enrichi en couples guanine-cytosine, lié par 3 liaisons hydrogène
au lieu de 2 pour les autres combinaisons, ce qui augmente la stabilité de
l’ARNmod et augmente la production de néoprotéine. Mais la vitesse de
traduction est altérée et sa fiabilité dégradée.
 Enfin, deux mutations, deux prolines sont placées par Pfizer et Moderna en
K986P et en V987P, ce qui expose la partie immunogène de la néoprotéine
spicule mais contribue à son instabilité structurelle.
 Outre l’ARN modifié, les autres composants principaux déclarés sont les
nanoparticules lipidiques ALC-0315, ALC-0159 et PSPC produites
industriellement et de cholestérol. Elles entrent dans la composition de la
capsule lipidique qui enveloppe l’acide nucléique et lui assure une forme
d’invisibilité.
Les nanoparticules lipidiques
Les molécules d’ARN modifié ne peuvent en effet atteindre les cellules que
dissimulées dans une capsule nanolipidique. Leur affinité membranaire leur
permet de franchir toutes les barrières biologiques, celles du cerveau, du
placenta, des cellules germinales, etc. L’encapsulation de l’ARNmod lui permet
de s’accumuler dans le foie et d’autres organes puis d’atteindre des organes
vitaux (cœur, cerveau, etc.), de franchir la barrière placentaire et de
contaminer le fœtus. Une partie des nanoparticules lipidiques est excrétée avec
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l’ARN et parfois la néoprotéine spicule dans des vésicules extracellulaires
appelées « exosomes » suspectées de constituer une voie de contamination de
l’entourage de la personne inoculée.
 Les études pré-cliniques chez le rat – dont les résultats ont été obtenus à la
suite d’une requête judiciaire – ont pu établir que les composants
nanolipidiques persistent dans l’organisme. Leur biodistribution – ici
représentée – montre une atteinte de l’ensemble des organes du corps avec
une affinité accrue pour les glandes et les ovaires. Mais selon qu’il s’agit de
Moderna ou Pfizer, les animaux ont été sacrifiés au bout de 6 ou 14 jours. La
persistance des produits injectés ne sera pas étudiée plus longtemps.
 Par contre, cette propriété n’a fait l’objet d’aucune exploration officielle sur
le sujet humain avant administration de ces produits expérimentaux en
population générale.
Composants non déclarés
Cette liste de composants déclarés masquent le fait que les fabricants
administrent en vérité un tout autre produit. En effet, le processus de
fabrication du produit de Pfizer/BioNTech a été changé entre la phase de tests
et celle de la production de masse. Dans le premier processus, le Process 1,
destiné aux essais, l’amplification de l’ARNmod est réalisée par une réaction en
chaîne via une polymérase, c’est-à-dire une PCR.
 Dans le second processus, le Process 2, démarré en octobre 2020, elle passe
par la réplication d’un ADN plasmidique au sein de la bactérie Escherichia coli.
Bien sûr, c’est une supercherie, et c’est interdit. Mais les agences sanitaires et
le gouvernement se taisent.
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 Ce qui est plus précisément caché au public, c’est que l’étape de purification
maintient en solution de l’ADN sous forme plasmidique et des endotoxines.
 Le produit testé en essai clinique n’est donc pas le produit administré. De
l’ADN plasmidique portant une copie du même gène que celui qui est porté par
l’ARNmod est injecté à la population, et l’on sait de longue date combien
l’injection de gènes sous cette forme peut être dangereuse. Grâce à cette
supercherie, cette dangerosité-là échappe aux essais cliniques.
Composants non déclarés (contaminants)
Cette présence d’ADN plasmidique dans les « vaccins » génique prétendument
à ARN est massive. Elle compte pour plus de 20% de l’acide nucléique
encapsulé, une proportion dépassant de très loin les 0,033% tolérés par
l’Agence européenne des médicaments. Or, les plasmides ont un pouvoir
autorépliquant, d’où une transcription in vivo d’ARNmod augmentée d’autant.
Le plasmide comprend notamment  une copie du gène manufacturé de la
néoproteine spicule et  des gènes de résistance aux antibiotiques utilisés
pour la croissance sélective des bactéries contenant les plasmides.  Il faut
insister sur la présence plus troublante du promoteur du virus oncogène SV40
dans les produits à ARN de Pfizer, mais pas dans ceux de Moderna. Sa présence
est nullement requise, ni pour la production d’ARNmod in vitro, ni pour la
traduction de l’ARNmod en néoprotéine spicule dans le cytoplasme de la
cellule humaine.  Par contre, il favorise le passage du plasmide dans le noyau
de la cellule humaine. De cette manière, il n’augmente pas seulement sa
transcription in vivo en ARNmod : il favorise clairement l’intégration du gène
manufacturé dans le génome de la personne inoculée.
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 Il s’agit donc de savoir pourquoi Pfizer a inclus cette séquence dans sa
préparation vaccinale, et pour quelle raison la Food and Drug Administration,
l’Agence européenne des médicaments et les autres agences sanitaires ont
gardé le silence sur la présence d’ADN dans la préparation d’ARN et sur celle du
promoteur du SV40.
Mode d’action
Le mode d’action du « vaccin » génique a bien été saisi par Alexandra Henrion
Caude dans son succès de librairie, Les Apprentis sorciers. « Les cellules se
transforment d’un coup en usine à produire ce que l’ARN[mod] nous force à
produire. […] Nos cellules sont ainsi reprogrammées, car l’information de cet
ARN[mod] synthétique est conçue pour s’imposer, être exécutée avec une forte
productivité. »
Un asservissement productif de la cellule
A rebours de toute physiologie complexe en effet, la promesse de la
« technologie ARN » tient tout entière dans la production maximisée par les
cellules du corps humain d’une protéine étrangère à la physiologie de
l’organisme à partir d’une construction génétique manufacturée. L’ARNmod
inoculé dans le cytoplasme échappe aux mécanismes physiologiques de
modulation de la synthèse des ARNm, qui s’exercent notamment au niveau de
l’ADN, et leur résistance à la dégradation contribue à cette production
maximisée. Enfin, une copie du gène manufacturé est susceptible de s’intégrer
dans le génome des cellules de la personne inoculée ainsi que dans celui des
bactéries qu’elle héberge.
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 La néoprotéine ainsi produite a toutes les propriétés d’une protéine
recombinante (ou hétérologue). Elle exerce les effets des plus délétères dans
l’organisme : structure modifiée, repliement altéré, etc. Si nous désignons cette
espèce de protéine humaine jamais rencontrée auparavant sous le terme de
néoprotéine, c’est qu’elle se distingue des protéines recombinantes
rencontrées jusqu’à présent par au moins trois caractères : ① elle est produite
dans nos corps humains (et pas dans un bioréacteur) ② à partir d’ARN (et non
seulement d’ADN) ③ pour produire directement ses effets dans nos
organismes qui la produisent (et non pour être purifiée comme dans la
production des vaccins à protéine recombinante). En outre, la protéine spicule
servant de modèle est dotée de propriétés toxiques sur l’organisme humain
connues depuis des décennies que la néoprotéine reproduit.
Capture des fonctions cellulaires
Dans le cas des « vaccins » à ARN, cette production maximale est obtenue par
une forme de capture des fonctions de la cellule qui interfère avec son
métabolisme et plus largement avec les régulations physiologiques de
l’organisme de la personne inoculée.
 ① La particule nanolipidique entre dans la cellule-hôte par endocytose.
 ② L’ARNmod est libéré, la néoprotéine synthétisée.
 ③ La néoprotéine spicule rejoint la surface de la cellule et ④ provoque
une réaction immune dirigée contre la cellule.
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 ⑤ Du fait de la présence d’un site de clivage de la furine, la sous-unité 1
peut être détachée de la sous-unité 2, ⑥ laquelle circule ainsi dans le plasma
et les canaux lymphatiques et produit ses effets délétères sur l’organisme.
 ⑦ L’ARNmod est susceptible d’être rétrotranscrit en ADN et incorporé
dans le génome de la cellule-hôte ou des bactéries commensales pour une
production de néoprotéine depuis le noyau. La copie du gène portée par le
plasmide contaminant peut s’insérer directement dans le génome, sans faire
appel aux enzymes de rétrotranscription.
 Comme on pouvait s’y attendre, le déploiement déraisonnable en
population générale de cette production manufacturée au cœur de nos cellules
a des conséquences délétères que nous évoquerons plus loin.
Une caractérisation moléculaire trompeuse
Nous venons de voir que les « technologies ARN » consistent en l’inoculation
d’un transgène in vivo.  Les produits de ce type ont été d’emblée réputés
d’une efficacité incertaine et d’une toxicité tellement élevée qu’elle a
découragé l’ensemble des enseignes du médicament qui se sont engagées dans
cette voie. Cette connaissance du danger aurait dû à elle seule décourager
l’exploitation de la « technologie ARN » à des fins vaccinales. Pourtant, ce
produit génique expérimental est d’emblée présenté par les responsables
sanitaires et politiques comme un vaccin « sûr et efficace », même en l’absence
de test substantiel de non-toxicité ou d’efficacité, et aussitôt administré en
population générale en passant au travers des mailles de la réglementation,
opportunément élargies pour l’occasion.
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Un classement injustifié dans la seule catégorie des vaccins
L’inoculation d’un transgène in vivo relève de toute évidence des critères de la
thérapie génique, et les vaccins géniques relevaient bien jusqu’en 2009 de la
cette réglementation. Les « vaccins » étaient alors fabriqués à base d’ADN
plasmidique. Du type de ceux que l’on retrouve dans les « vaccins »
prétendument à ARN.
 Pourtant, une directive de l’OMS de 2005 concernant les vaccins a établi
que ces évaluations, je cite, « ne sont généralement pas considérées comme
nécessaires pour soutenir le développement et l’homologation de vaccins
contre les maladies infectieuses ». Mais la définition des vaccins anti-infectieux
alors en vigueur datait de 1975, époque où les « vaccins » géniques n’existaient
pas. C’est sur la base de ces conceptions obsolètes que l’OMS accorde aux
produits géniques à prétention vaccinale le statut de vaccin, alors même que
leur mode d’action n’y correspond aucunement.
 Et c’est par une simple disposition réglementaire, sans argumentation
scientifique ou éthique, que l’Union européenne a exclu en septembre 2009 les
vaccins contre les maladies infectieuses du groupe des thérapies géniques :
l’AEM déclare alors simplement que « les vaccins contre les maladies
infectieuses ne sont pas classés parmi les produits de thérapie génique ». La
FDA suit cette position et l’entérine officiellement en 2013 alors que le
département de la Défense des États-Unis investit des dizaines de millions de
dollars dans des thérapies vaccinales à base d’ARN, notamment dans l’enseigne
Moderna. Les agences sanitaires font alors passer les « vaccins » à ARN sous la
réglementation des vaccins, alors qu’un même type de produit dirigé contre
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une maladie non infectieuse (un tissu cancéreux par exemple) est un Gene
therapy medical product ou GTMP.
 Les avantages pour le fabricant sont énormes. Leurs produits géniques se
dérobent ainsi aux études requises pour évaluer la sécurité des produits de
thérapie génique. Ils se dérobent également à la réglementation sur les
organismes génétiquement modifiés. Ils se dérobent plus fondamentalement
au débat public, avec en particulier en France la dissolution du Haut Conseil des
biotechnologies le 31 décembre 2020. Il est alors expliqué que l’ARN ne peut
être pas rétrotranscrit en ADN. Ce ne serait donc pas une thérapie génique.
Quant aux vaccins à ADN, ils sont rebaptisés « à vecteur viral », afin que la
« vaccination » n’apparaisse pas pour ce qu’elle est aux yeux du public, à savoir
une thérapie génique.
 Cet effacement de toute prudence au profit d’un déploiement de censure et
d’arguments mensongers ne parvient plus désormais à cacher qu’il a été
administré un produit génique expérimental en population générale sans étude
sérieuse de sa toxicité ou de son éventuelle efficacité et sans débat public.
Une inaptitude à l’action vaccinale
Dans leur article fondateur de 2014, les concepteurs de la « technologie ARN »
ont identifié trois domaines thérapeutiques principaux à leur trouvaille : « les
immunothérapies, les thérapies de remplacement des protéines et les
applications de médecine régénérative ».
 Point de vaccin ici, qui suppose une stimulation directe du système
immunitaire contre un agent pathogène, de sorte que l’organisme receveur soit
durablement protégé contre les maladies provoquées par cet agent.
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 Dans le cas des « vaccins » géniques, il n’apparaît pas de stimulation
notable du système immunitaire : pas de production durable d’anticorps, pas
d’activation notable de l’immunité cellulaire contre un agent pathogène, sinon
contre l’ARNmod ou contre les cellules du corps transfectées par lui.
L’organisme n’est donc pas protégé.
 L’action de la « technologie ARN » peut même être qualifiée de « contrevaccinale », puisqu’elle perturbe la réponse immune par la production
monotone d’une protéine immunogène manufacturée ne répondant à aucune
régulation physiologique et qu’elle induit une immunodépression pour que
l’ARNmod ne soit pas détruit avant d’avoir agi.
 Au total, La « technologie ARN » déprime ainsi l’immunité du receveur pour
soustraire l’ARNmod à sa destruction immédiate afin de faire fabriquer à
l’organisme un maximum de substance étrangère à son métabolisme. Il résulte
de cette action « contre-vaccinale » une sensibilité aux infections (y compris au
covid), des cancers et des maladies auto-immunes, avec les conséquences que
nous allons bientôt aborder.
Les « vaccins » géniques ne sont pas des médicaments
Même si la contamination de la préparation par l’ADN finissait par être
éliminée, même si l’inoculation parvenait à produire une réaction immune
contre l’agent pathogène, la maîtrise de la transfection des cellules de
l’organisme à des fins médicamenteuses demeurerait impossible. Au sein de
l’Union européenne, selon la Directive 2001/83/CE du Parlement européen et
du Conseil, les préparations médicamenteuses sont en effet composées d’un
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ou de plusieurs principes actifs (ou substances actives), d’un excipient et
éventuellement d’adjuvants.
 Or, les préparations d’acides nucléiques à finalité vaccinale ne contiennent
aucun composant qui s’apparente à un principe actif dans l’effet
pharmacologiquement annoncé, contrairement à ce qu’affirment les fabricants
et les agences sanitaires. Le support génique n’est pas taillé pour stimuler une
immunité contre un agent pathogène, mais pour conduire à la synthèse d’une
quantité maximale de protéine étrangère à l’organisme. C’est ce qu’admettent
Ugur Sahin et Katalin Karikó dans leur article fondateur de 2014 : « l’ARNm
transcrit in vitro n’est pas l’agent final pharmacologiquement actif ».
 L’ARNmod n’est pas même un promédicament, une prodrogue : les acides
nucléiques ne se transforment pas en métabolites actifs, ils portent une
recette, une instruction, un code de protéine confiée au métabolisme
particulier des personnes inoculées. La façon dont chaque organisme en
dispose pour produite une substance étrangère – la « vraie » substance active –
ne peut en aucun cas garantir le respect des normes de stabilité structurelle et
de sécurité requises pour un médicament, qui plus est en vue d’une
administration en population générale.
 Les nanoparticules lipidiques sont des adjuvants qui jouent un rôle
indispensable pour l’enregistrement d’un effet pharmacologique. Mais ce sont
aussi des nanomatériaux reconnus comme défavorable à la santé humaine :
elles peuvent par exemple pénétrer dans les cellules et perturber leurs
structures internes ainsi que leurs fonctions biologiques.
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En l’absence de principe actif, les produits conçus selon la « technologie ARN »
ne sont pas des médicaments au sens de l’Union européenne. N’étant pas des
médicaments, ce ne sont pas non plus, de jure, des vaccins.
Conséquences
Abordons maintenant les conséquences de cette administration de produit
génique à large échelle.
 Nous avons vu que l’ARNmod peut bien porter une recette de fabrication de
protéine spicule : la façon dont nos organismes en disposent reste
incontrôlable, non linéaire et frappé d’une imprévisibilité essentielle.
Sa large distribution dans l’organisme, sa probable transmission à l’entourage,
sa toxicité sur le génome et sur le métabolisme cellulaire annoncent davantage
une catastrophe sanitaire qu’une réussite éblouissante en matière de lutte
contre le péril infectieux.
Conséquences de l’inoculation d’ARNmod dans les cellules
Dans le monde merveilleux des scientifiques amis des industriels, on raconte
une histoire de réponse immunitaire efficace à partir des cellules présentatrices
d’antigène.
 ① La particule nanolipidique pénètre dans la cellule-hôte par endocytose.
② L’ARNmod est libéré, la néoprotéine synthétisée.
 ③ L’« antigène » est découpé en fragments et présentés aux cellules T
cytotoxiques par les protéines de classe I du complexe majeur
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d’histocompatibilité et ④ Les cellules T déclenchent l’apoptose, c’est-à-dire la
mort de la cellule transfectée.
 ⑤ Les antigènes sécrétés sont présentés aux lymphocytes T auxiliaires par
les protéines de classe II du complexe majeur d’histocompatibilité et ⑥ Les
cellules T auxiliaires facilitent l’élimination des agents pathogènes circulants en
stimulant les cellules B pour produire des anticorps neutralisants et les
phagocytes comme les macrophages.
 Bref, la traduction de l’ARNmod produirait un antigène et une réponse
immunitaire efficace à partir des cellules présentatrices d’antigène. Mais ceci
est un conte pour enfants.
Conséquences de l’inoculation d’ARNmod dans les cellules
Les conséquences de la transfection des cellules humaines doivent être reprises
avec ce que les fabricants savaient de l’action des « vaccins » à ARN depuis le
début de leur folle entreprise.
 ① Les complexes formés par les nanoparticules lipidiques et l’ARNmod
circulent dans tout l’organisme et peuvent être traduits par de nombreux types
de cellules à la faveur de l’induction d’une dépression de l’immunité innée.
 ② L’ARNmod est libéré et traduit en néoprotéine par les ribosomes. Les
modifications de la séquence d’acides aminés lui confèrent des propriétés
inconnues.
 ③ La néoprotéine est décomposée en fragments plus petits. Leur
présentation par les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité
transforme des cellules « amies » en cellules « ennemies » : les lymphocytes T
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cytotoxiques reconnaissent un motif antigénique relevant du « non-soi » et
exercent alors leur action cytolytique, produisant des manifestions
inflammatoires et d’auto-immunité dans tout le corps.
 ④ La néoprotéine amenée à la surface de la cellule peut être reconnue par
des anticorps. Ces anticorps activent le système du complément, aboutissant à
une perméabilisation de la membrane cellulaire, ce qui conduit
potentiellement à la mort cellulaire dans tous les tissus transfectés.
 Les étapes ⑤ et ⑥ de la figure précédente, inductrices d’immunité active,
peuvent bien se dérouler dans les cellules présentatrices d’antigène, elles ne
constituent en rien le mode d’action principal à l’échelle de l’organisme.
 Tous les tissus subissent potentiellement des dommages. Des lésions
subcliniques se produisent vraisemblablement chez tous les receveurs, les plus
symptomatiques étant détectés cliniquement.
Conséquences en termes d’effets indésirables
Alors que les agences sanitaires occidentales chantent à l’unisson la rareté des
effets indésirables, le gouvernement de l’Australie de l’Ouest publie en
juillet 2023, avec 6 mois de retard, son rapport sur la surveillance de la sécurité
des vaccins. C’est à ma connaissance le seul qui l’ait fait de façon objective et
non biaisée.
 La rareté toute relative des effets indésirables s’apprécie sur cette figure du
rapport affichant les événements indésirables remontés au système de
surveillance sur une base mensuelle au cours de la période 2017-2021.
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 Précisons que le programme de « vaccination » anticovid démarre en
Australie en février 2021.
 Les chiffres sont éloquents : avec l’hypothèse raisonnable d’une proportion
de 10% d’événements déclarés, nous parvenons à 1 effet indésirable pour
38 injections de produit génique, soit 24 fois plus qu’avec les vaccins classiques
« non anticovid » : cela donne 1 sur 33 injections pour AstraZeneca, 1 sur 36
pour Moderna, 1 sur 41 pour Pfizer.
 L’examen des réactions comparées réalisé par le Gouvernement de
l’Australie de l’Ouest à la suite de vaccins classiques non anticovid et de
pseudo-vaccins anticovid est plutôt terrifiant :  douleurs précordiales (1 vs
1 404),  maux de tête (13 vs 2 737),  lymphadénopathies (2 vs 244), 
myalgies (6 vs 2 001),  péricardites (0 vs 402),  essoufflement (6 vs 693),
et on pourrait continuer encore longtemps.
 Ces chiffres démontrent bien que ces pseudo-vaccins provoquent des effets
plus nombreux et d’une autre nature que ceux des vaccins classiques.
Conséquences sur les naissances en France
Les conséquences des campagnes de « vaccination » sont telles qu’elle se lisent
sur les courbes pluriannuelles des naissances et des décès.
 En France, la campagne de « vaccination des femmes enceintes »
commence le 3 mai 2021. La remontée des naissances suivant les confinements
se poursuit quelques mois, jusqu’en septembre 2021 puis le nombre de
naissances diminue pour ne plus se relever.
 En 2022, le nombre de naissances totales est en dessous de celles de 2020.
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 Le minimum est atteint en avril 2023, un minimum jamais atteint depuis
1994, en dehors des naissances de janvier 2021 correspondant aux conceptions
de mars 2020.
 La représentation du phénomène lissée sur 12 mois proposée par Olivier
Berruyer permet de mieux représenter la tendance de fond : une lente décrue
décennale de la natalité, un premier choc de dénatalité corrélé aux décisions
politiques pour lutter contre la pandémie de covid, puis une reprise permettant
d’atteindre une natalité équivalente à celle d’avant la pandémie de covid, enfin
un second choc de dénatalité encore plus profond qui prend de l’ampleur à
partir de 2022 et dont on peut interroger le lien avec la campagne de
« vaccination » des femmes enceintes.
 Malgré cette évolution alarmante, cette campagne de « vaccination » des
femmes enceintes est toujours en cours.
Conséquences sur les décès toutes causes
En Allemagne, la surmortalité a été établie à 66 000 décès en 2022, un nombre
quatre fois supérieur à l’écart-type empirique, alors qu’en 2020, une année
sans « vaccination » mais aux prises avec une pandémie prétendument
épouvantable, il n’apparaît pas de surmortalité manifeste (4 000 décès en
excès). La surmortalité des sujets jeunes a commencé avec leur « vaccination »,
à partir d’avril 2021. En 2022, la surmortalité a formé deux pics : l’un autour de
35 ans, mais visible dès les quinze premières années de la vie, l’autre autour de
75 ans, avec une surmortalité très faible entre 50 et 59 ans.
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 En France, une publication de l’INSEE en date du 6 juin 2023 a établi la
surmortalité à 53 800, supérieure à celle de 2020 et de 2021. En 2020, à la
différence de l’Allemagne, une surmortalité importante a affecté les sujets âgés
de plus de 65 ans. Pour les années 2021 et 2022, le profil de surmortalité était
équivalent à celui de l’Allemagne. La surmortalité des sujets jeunes a
commencé avec leur « vaccination », mi-2021. En 2022 a été enregistrée une
surmortalité à deux pics : l’un autour de 35 ans, l’autre autour de 80 ans, avec
une faible surmortalité entre 55 et 64 ans. Enfin, en 2022, une surmortalité des
sujets jeunes a commencé dès les quinze premières années de la vie.
 Un aspect singulier de la surmortalité de 2022 est sa prédominance
féminine chez les jeunes, qui rappelle la prédominance féminine des effets
indésirables liés au « vaccin » à ARN, dans un rapport de 3 pour 1. Or, en
général, la mortalité toutes causes chez les hommes est plus élevée que celle
des femmes. Cette inversion n’était pas visible sur la surmortalité de 2020, liée
à la gestion institutionnelle de la pandémie : elle se remarque seulement
pendant les années suivant la « vaccination » de la population générale.
Conséquences sur les décès (Angleterre, 2023)
Examinons enfin les données britanniques, qui sont considérées les meilleures
du monde. Or, selon celles recueillies entre janvier et mai 2023, qui incluent le
statut vaccinal, il y a eu 8 766 décès dus au covid en Angleterre.
 8 330 décès, soit 95%, étaient des personnes inoculées, 436 décès – soit 5%
– étaient des personnes non inoculées.
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 Dans le même temps, la proportion de personnes ayant reçu 1 dose était de
81,6%. Celle avec deux doses était de 78,7%, celle de trois doses de 64,3%. Il y a
donc eu davantage de décès liés au covid chez les personnes vaccinées que
chez les personnes non vaccinées.
 En outre, mais ce n’est pas représenté sur le schéma, les personnes
« vaccinées » sont surreprésentés parmi les décès toutes causes.
 En conclusion, les « vaccins » géniques n’ont pas évité de décès toutes
causes, ils n’ont pas non plus évité de décès dus au covid. Dans les deux cas, ils
en ont entraîné davantage.
Conclusion
Les faits rapportés dans cet exposé sont évidemment d’une gravité
exceptionnelle…
Des faits d’une gravité exceptionnelle
Ignorant toutes les règles de prudence, contournant les réglementations
protectrices, les sabordant si nécessaire, des gouvernements et des
professionnels de santé ont prêté la main à une expérience de manipulation de
notre expression génétique, une expérimentation quasi-imposée en population
générale, voire imposée pour certains métiers : soignants, hospitaliers,
militaires, pompiers.
 Des mensonges de maquignon ont été relayés par les plus hautes autorités
sanitaires dans une ambiance de terreur et d’autoritarisme, et toute une
bureaucratie s’est empressée de contribuer à ce désastre qui continue à
produire ses effets destructeurs.
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 En termes de conduite à tenir en urgence, avec toutes les données connues
aujourd’hui, malgré la censure, il est clair que les « vaccins » à ARN doivent être
tout de suite retirés du marché. Permettre encore qu’une seule personne se
fasse encore inoculer aujourd’hui cette mixture toxique témoigne d’une
négligence dont le caractère coupable ou pas ne peut relever que du jugement
de cour.
 Concernant le préjudice causé aux populations par leur inoculation forcée,
leur risque doit maintenant être identifié, exploré, combattu et pris en charge
par la collectivité avant que les pouvoirs publics ne se retournent vers les
fabricants de ces produits et leurs responsables ultimes.
 Il est urgent de cesser d’appeler « vaccins » ces préparations à base d’acide
nucléique, ce qu’elles ne sont pas et n’ont jamais été, et de leur appliquer la
réglementation qui s’applique à tous les produits de thérapie génique.
 Reste le sort à réserver aux « plateformes ARN » qui ont poussé dans le
monde entier en absorbant des centaines de millions d’euros. Avec les
meilleures intentions, leurs productions présenteront toujours des risques
accrus d’effets indésirables graves, parfois mortels, des risques de production
de protéines différentes de celles promises, aux réactions inattendues, parfois
délétères, et des risques de pollution du patrimoine génétique avec des gènes
manufacturés.
 Avec de moins bonnes intentions, elles ouvrent la possibilité de nouvelles
atteintes à l’intégrité corporelle de personnes, de collectifs ou de populations
entières ainsi que d’un contrôle social par les corps.

 

 

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